Le Festivalito est un festival franco-colombien local muni du suffixe de la tendresse («-ito ») qui tire sa force d’un réalisme magique colombien transposé « chez nous ».
Depuis 9 ans, il convoque ce réalisme magique capable de ré-enchanter le quotidien, et œuvre avec un joyeux décalage sur le monde qui l’entoure.
Dans le Festivalito, l’Oralité a la part belle : des spectacles d’Art Vivant, avec une nette prédominance du conte, explorent les problématiques propres à notre époque insolite ou encore celles venues de la nuit des temps, et tissent par les liens du sensible une réflexion positive et collective.
Ces rencontres dites « locombiennes » permettent l’affirmation d’identités culturelles multiples tout comme leurs reconnaissances mutuelles.
LAV-LAC, qui porte ce projet, mène tout au long de l’année un travail d’éducation et de création artistique nommé « La Fabrique Locombienne » soutenue par la Convention Générale pour l’Education Artistique (CGEAC = DRAC et Communauté de Communes) qui allie des artistes français et colombiens.
En général, le spectacle final de cette Fabrique éclot lors du Festivalito.
Le Festivalito est soutenu par la DRAC, La Région Occitanie, le Département du Gard, la Communauté de Communes du Pays de Sommières, la ville de Calvisson et le village de Salinelles.
Il est réalisable grâce à l’huile de coude d’une cinquantaine de bénéLoves et la persévérance d’une équipe de Botté.e.s bien inspiré.e.s.
Cette année le Festivalito revient pour sa 9ème édition en 2 temps et 2 lieux différents : le 30 août à Calvisson, les 17 et 18 octobre à Salinelles.
Pour écouter l’émission de présentation du Festivalito 9 et de Sirco :
Entre les Halles et la Médiathèque, à partir de 15h – entrée libre
GUINGUETTE ET RESTAURATION LATINO-LOCALE DANS LA RUE DES FONTAINES – entre les Halles et le Bar, en partenariat avec l’idée-Halles
Les « Anolis’toires », cela signifie « des histoires contées par Anolis organisées sous forme de spectacles sensibles et cohérents », bref, pardonnez-lui cette propension au langage des oiseaux, comme toute femme, elle s’entraîne à voler.
Quelques mots sur la dame et son parcours : Ce sont les scènes colombiennes qui l’ont révélée à sa voix conteuse en 2007.
Elle avait découvert le conte dans l’enceinte familiale, lancé ses premières histoires autour des feux de camps scouts, puis elle est devenue conteuse professionnelle en changeant de continent. Partie en 2007 mener une enquête de terrain en Colombie sur le rapport entre l’oralité et la violence, elle y a aussi tissé son réseau artistique durant cinq ans. Forgée par cette expérience multiculturelle, elle raconte aujourd’hui tant dans sa langue maternelle qu’en espagnol des histoires ancrées – teintées d’une fraicheur tropicale.
Un retour de boomerang, Oscar, qu’Anolis a rencontré en 2011 lors d’un projet de lecture publique à Bogota, ressurgit début septembre 2024 pour s’interesser au parcours de la conteuse et porteuse de projets locombiens…cela donne cela.
bleu marine
bleu turquoise
rose, on ose
LAVLAC colporte un processus artistique franco-locombien, le Festivalito et les Anolis’toires par Anolis depuis La Belle échappée.
Association créée le 20 janvier 2010, son objet est de « promouvoir des activités culturelles, artistiques, vectrices de solidarité internationale et de bien-être social. »
LAVLAC est titulaire des licences 2 et 3 d’Entrepreneur du spectacle. Son siège social est basé dans le Gard.
LAVLAC – association loi 1901
5 rue Adrien Rouger
30420 CALVISSON
contact[at]lav-lac.org
Pour adhérer à l’association, c’est ici
Ceci n’est pas le TEASER de Touchante!
C’est Robert Steven Crow qui chante le chant d’honneur des Mi’kmac dans le jardin de la Belle échappée.
Il y a la Merveille et les affres du quotidien.
Il y a l’homme-oiseau et le café brulé du matin. La malle s’ouvre, une robe tombe,
5 histoires se déploient et s’entremêlent
pour tresser un pont de singe
entre l’Europe et l’Amazonie.
La femme «poly-facette» et «poly-vaillante» comme terre commune :
à l’heure où le Conte se fait rampe,
les mots nous allument.